Né en 1960 à Toulouse, artiste autodidacte, Gérard Cambon commence à créer ses assemblages à 35 ans. Il expose régulièrement depuis plus de vingt ans en Europe et aux États-Unis.
A la recherche d’une « fusion des éléments », il expérimente sans cesse de nouveaux matériaux (métaux, bois, cuir, verre, végétaux, tissus…) et les intègre à ses assemblages.
Son univers est constitué de petites créatures qui circulent sur ses « locomobiles », manèges, grandes roues et autres mobiles, et suscitent une furieuse envie de liberté et d’évasion. D’autres encore, en groupe, contemplent leurs semblables dans des bas-reliefs, scènes intimistes, à l’atmosphère théâtrale ou cinématographique.
Tous ces assemblages qui « fusionnent » sont réalisés à partir de matériaux de toute nature : bois, métaux, verre, cuir ou coquillages souvent glanés lors de voyages à l’étranger (Asie, Afrique).
Ses « locomobiles » qui évoquent la liberté et l’évasion, ses bas-reliefs à l’ambiance très théâtrale, ses manèges atmosphériques sont exposés dès 1996 à Paris, puis à New York à partir de 2000.
Aujourd’hui, son œuvre connaît une véritable reconnaissance en Europe (France, Belgique, Suisse, Luxembourg) et aux États-Unis (Chicago, New York, Los Angeles, Seattle).
« Mon but est de toucher l’imaginaire des gens.
Je cherche à partir d’un travail d’assemblage à créer des images, des atmosphères.
Et que les gens se les approprient, qu’ils se créent leurs propres histoires, bref qu’ils se fassent leur cinéma à partir d’une émotion, d’une réminiscence, d’un rêve.
Pour cela j’ai besoin de figures humaines mais il faut de la retenue, il ne faut pas tout cadenasser avec un environnement trop précis, des références temporelles, des personnages trop présents. C’est un équilibre difficile à trouver : un univers qui doit être vivant sans verser dans l’anecdote. Pour que cela marche, le livre doit rester à moitié ouvert ». Gérard Cambon
Né en 1960 à Toulouse, artiste autodidacte, Gérard Cambon commence à créer ses assemblages à 35 ans. Il expose régulièrement depuis plus de vingt ans en Europe et aux États-Unis.
A la recherche d’une « fusion des éléments », il expérimente sans cesse de nouveaux matériaux (métaux, bois, cuir, verre, végétaux, tissus…) et les intègre à ses assemblages.
Son univers est constitué de petites créatures qui circulent sur ses « locomobiles », manèges, grandes roues et autres mobiles, et suscitent une furieuse envie de liberté et d’évasion. D’autres encore, en groupe, contemplent leurs semblables dans des bas-reliefs, scènes intimistes, à l’atmosphère théâtrale ou cinématographique.
Tous ces assemblages qui « fusionnent » sont réalisés à partir de matériaux de toute nature : bois, métaux, verre, cuir ou coquillages souvent glanés lors de voyages à l’étranger (Asie, Afrique).
Ses « locomobiles » qui évoquent la liberté et l’évasion, ses bas-reliefs à l’ambiance très théâtrale, ses manèges atmosphériques sont exposés dès 1996 à Paris, puis à New York à partir de 2000.
Aujourd’hui, son œuvre connaît une véritable reconnaissance en Europe (France, Belgique, Suisse, Luxembourg) et aux États-Unis (Chicago, New York, Los Angeles, Seattle).
« Mon but est de toucher l’imaginaire des gens.
Je cherche à partir d’un travail d’assemblage à créer des images, des atmosphères.
Et que les gens se les approprient, qu’ils se créent leurs propres histoires, bref qu’ils se fassent leur cinéma à partir d’une émotion, d’une réminiscence, d’un rêve.
Pour cela j’ai besoin de figures humaines mais il faut de la retenue, il ne faut pas tout cadenasser avec un environnement trop précis, des références temporelles, des personnages trop présents. C’est un équilibre difficile à trouver : un univers qui doit être vivant sans verser dans l’anecdote. Pour que cela marche, le livre doit rester à moitié ouvert ». Gérard Cambon