Un sculpteur, un peintre, chacun avec une parfaite maitrise de son art emprunt de cette petite note de fantaisie, loin d’un art conventionnel.
À l’origine : une rencontre entre un renard et un loup, deux animaux souvent présents dans leurs créations. De là s’établit un vrai dialogue et un respect entre ces deux artistes singuliers aux personnalités bien trempées.
Lorsque l’un nous plonge dans la mythologie en faisant jaillir des personnages explosifs, l’autre nous propose son bestiaire expressif.
François peint des scènes de vie quotidienne, enrichies de toutes ses lectures. Pierre nous transporte dans ses balades matinales, où il puise son inspiration.
Tous deux vivent leur art au plus profond d’eux mêmes, y mettent leur personnalité, ne retrouve t’on pas chez l’un des regards perçants qui lui sont propres, des attitudes animales presque humaines ? Alors que l’autre peint des personnages aux yeux sulfureux et des créatures plantureuses.
Si les sculptures de Pierre nous donnent une impression de facilité et d’évidence, elles ne sont que le résultat de réflexions, de recherches et d’observations, une fois tout cela construit dans son esprit, la réalisation va de soi. Pour la peinture, François sait au préalable parfaitement où ilva lorsqu’il se retrouve face à la toile blanche. Cependant, le public a besoin d’un peu de temps pour s’approprier un tableau, il lui faut avant d’en découvrir toute la richesse, pénétrer cetunivers si explosif qui lui est propre.
Cette alchimie opérant, un dialogue s’établit.
Un sculpteur, un peintre, chacun avec une parfaite maitrise de son art emprunt de cette petite note de fantaisie, loin d’un art conventionnel.
À l’origine : une rencontre entre un renard et un loup, deux animaux souvent présents dans leurs créations. De là s’établit un vrai dialogue et un respect entre ces deux artistes singuliers aux personnalités bien trempées.
Lorsque l’un nous plonge dans la mythologie en faisant jaillir des personnages explosifs, l’autre nous propose son bestiaire expressif.
François peint des scènes de vie quotidienne, enrichies de toutes ses lectures. Pierre nous transporte dans ses balades matinales, où il puise son inspiration.
Tous deux vivent leur art au plus profond d’eux mêmes, y mettent leur personnalité, ne retrouve t’on pas chez l’un des regards perçants qui lui sont propres, des attitudes animales presque humaines ? Alors que l’autre peint des personnages aux yeux sulfureux et des créatures plantureuses.
Si les sculptures de Pierre nous donnent une impression de facilité et d’évidence, elles ne sont que le résultat de réflexions, de recherches et d’observations, une fois tout cela construit dans son esprit, la réalisation va de soi. Pour la peinture, François sait au préalable parfaitement où ilva lorsqu’il se retrouve face à la toile blanche. Cependant, le public a besoin d’un peu de temps pour s’approprier un tableau, il lui faut avant d’en découvrir toute la richesse, pénétrer cetunivers si explosif qui lui est propre.
Cette alchimie opérant, un dialogue s’établit.