Son travail s’articule autour du concept de la mémoire immédiate du bonheur. Capter les souvenirs lorsqu’ils naissent, photographier la persistance rétinienne, à mi-chemin entre la réalité, le souvenir et le rêve.
Ses dernières séries sont ainsi photographiées au sténopé afin de reproduire cette persistance rétinienne et son souvenir, à mi-chemin entre le flou et le piqué entre la photo et la peinture.
Le sténopé est un appareil photo très simple qui permet d’obtenir une image en laissant passer la lumière à travers un trou minuscule qui fait office d’objectif.
Cette technique a été inventée en Perse aux alentours de l’an 1000, alors appelée camera Obscura (ou chambre noire), elle a beaucoup été utilisée par les peintres, notamment à partir de la Renaissance.
En 1514, Léonard de Vinci explique : « En laissant les images des objets éclairés pénétrer par un petit trou dans une chambre très obscure tu intercepteras alors ces images sur une feuille blanche placée dans cette chambre […] mais ils seront plus petits et renversés. »
En quelque sorte, associer un sténopé et un appareil photo numérique est un pur anachronisme.
Ce paradoxe historique permet de rapprocher la photographie de la peinture en obtenant le rendu très particulier d’une photo techniquement nette avec moins de détails, moins de piqué, des ciels et des peaux qui semblent avoir été peints à la brosse.
Son travail s’articule autour du concept de la mémoire immédiate du bonheur. Capter les souvenirs lorsqu’ils naissent, photographier la persistance rétinienne, à mi-chemin entre la réalité, le souvenir et le rêve.
Ses dernières séries sont ainsi photographiées au sténopé afin de reproduire cette persistance rétinienne et son souvenir, à mi-chemin entre le flou et le piqué entre la photo et la peinture.
Le sténopé est un appareil photo très simple qui permet d’obtenir une image en laissant passer la lumière à travers un trou minuscule qui fait office d’objectif.
Cette technique a été inventée en Perse aux alentours de l’an 1000, alors appelée camera Obscura (ou chambre noire), elle a beaucoup été utilisée par les peintres, notamment à partir de la Renaissance.
En 1514, Léonard de Vinci explique : « En laissant les images des objets éclairés pénétrer par un petit trou dans une chambre très obscure tu intercepteras alors ces images sur une feuille blanche placée dans cette chambre […] mais ils seront plus petits et renversés. »
En quelque sorte, associer un sténopé et un appareil photo numérique est un pur anachronisme.
Ce paradoxe historique permet de rapprocher la photographie de la peinture en obtenant le rendu très particulier d’une photo techniquement nette avec moins de détails, moins de piqué, des ciels et des peaux qui semblent avoir été peints à la brosse.
Son travail s’articule autour du concept de la mémoire immédiate du bonheur. Capter les souvenirs lorsqu’ils naissent, photographier la persistance rétinienne, à mi-chemin entre la réalité, le souvenir et le rêve.
Ses dernières séries sont ainsi photographiées au sténopé afin de reproduire cette persistance rétinienne et son souvenir, à mi-chemin entre le flou et le piqué entre la photo et la peinture.
Le sténopé est un appareil photo très simple qui permet d’obtenir une image en laissant passer la lumière à travers un trou minuscule qui fait office d’objectif.
Cette technique a été inventée en Perse aux alentours de l’an 1000, alors appelée camera Obscura (ou chambre noire), elle a beaucoup été utilisée par les peintres, notamment à partir de la Renaissance.
En 1514, Léonard de Vinci explique : « En laissant les images des objets éclairés pénétrer par un petit trou dans une chambre très obscure tu intercepteras alors ces images sur une feuille blanche placée dans cette chambre […] mais ils seront plus petits et renversés. »
En quelque sorte, associer un sténopé et un appareil photo numérique est un pur anachronisme.
Ce paradoxe historique permet de rapprocher la photographie de la peinture en obtenant le rendu très particulier d’une photo techniquement nette avec moins de détails, moins de piqué, des ciels et des peaux qui semblent avoir été peints à la brosse.