Edgar Manuel Marcos
Né en 1967 au Portugal. Vit et travail en région parisienne.
Edgar Manuel Marcos
Né en 1967 au Portugal. Vit et travail en région parisienne.
OEUVRES DISPONIBLES (PDF)Déclinant des séries de portraits, sans décor ni contexte, dans des compositions très maîtrisées, Edgar Manuel Marcos explore l’identité, dans ce qu’elle a d’intangible et de vacillant, d’affirmation de soi et de secret. Ses personnages sont le plus souvent tronqués, une partie du visage ou du corps disparaît derrière une tache de couleur, un lavis, une ombre qui s’étend… Restent la stature, l’empreinte, un regard. Transparences, doublements, effacements marquent un mystère, ce sont les fragments manquants qui intriguent. À une époque où l’individu se met en scène dans une exubérance aveugle, évolue dans une société rapide et saturée d’informations, ces portraits sobres et pudiques s’intéressent aux mondes intérieurs des individus, à leurs doutes et vulnérabilités.
_« Mon travail iconophile et mes vaines tentatives de superposer ce qui ne peut pas l’être convergent vers des oppositions fondamentales ; la relation entre le vide et le plein, la matière et l’esprit, l’éternel et le passager, entre la chute et l’élévation. Tendre vers ce qui est absent, source de désir inassouvi et de petites souffrances teintées d’une certaine suavité, prétendre aux variations d’intensités dont on sait le caractère passager. Individualiser la surface de la toile, l’isoler du spectateur. Résister à l’irruption du réel, assembler puis renoncer, ré-assembler et disparaître entre hauts et bas, s’égarer, confondre les apparences, ressasser, briser la répétition, briser la répétition…… »_. Dans une quête sensible de l’humanité en chacun, une recherche existentielle, l’artiste nous entraîne dans son univers puissant et doux, pudique et grave…
Déclinant des séries de portraits, sans décor ni contexte, dans des compositions très maîtrisées, Edgar Manuel Marcos explore l’identité, dans ce qu’elle a d’intangible et de vacillant, d’affirmation de soi et de secret. Ses personnages sont le plus souvent tronqués, une partie du visage ou du corps disparaît derrière une tache de couleur, un lavis, une ombre qui s’étend… Restent la stature, l’empreinte, un regard. Transparences, doublements, effacements marquent un mystère, ce sont les fragments manquants qui intriguent. À une époque où l’individu se met en scène dans une exubérance aveugle, évolue dans une société rapide et saturée d’informations, ces portraits sobres et pudiques s’intéressent aux mondes intérieurs des individus, à leurs doutes et vulnérabilités.
_« Mon travail iconophile et mes vaines tentatives de superposer ce qui ne peut pas l’être convergent vers des oppositions fondamentales ; la relation entre le vide et le plein, la matière et l’esprit, l’éternel et le passager, entre la chute et l’élévation. Tendre vers ce qui est absent, source de désir inassouvi et de petites souffrances teintées d’une certaine suavité, prétendre aux variations d’intensités dont on sait le caractère passager. Individualiser la surface de la toile, l’isoler du spectateur. Résister à l’irruption du réel, assembler puis renoncer, ré-assembler et disparaître entre hauts et bas, s’égarer, confondre les apparences, ressasser, briser la répétition, briser la répétition…… »_. Dans une quête sensible de l’humanité en chacun, une recherche existentielle, l’artiste nous entraîne dans son univers puissant et doux, pudique et grave…
Edgar Manuel Marcos
Né en 1967 au Portugal. Vit et travail en région parisienne.
Edgar Manuel Marcos
Né en 1967 au Portugal. Vit et travail en région parisienne.
Déclinant des séries de portraits, sans décor ni contexte, dans des compositions très maîtrisées, Edgar Manuel Marcos explore l’identité, dans ce qu’elle a d’intangible et de vacillant, d’affirmation de soi et de secret. Ses personnages sont le plus souvent tronqués, une partie du visage ou du corps disparaît derrière une tache de couleur, un lavis, une ombre qui s’étend… Restent la stature, l’empreinte, un regard. Transparences, doublements, effacements marquent un mystère, ce sont les fragments manquants qui intriguent. À une époque où l’individu se met en scène dans une exubérance aveugle, évolue dans une société rapide et saturée d’informations, ces portraits sobres et pudiques s’intéressent aux mondes intérieurs des individus, à leurs doutes et vulnérabilités.
_« Mon travail iconophile et mes vaines tentatives de superposer ce qui ne peut pas l’être convergent vers des oppositions fondamentales ; la relation entre le vide et le plein, la matière et l’esprit, l’éternel et le passager, entre la chute et l’élévation. Tendre vers ce qui est absent, source de désir inassouvi et de petites souffrances teintées d’une certaine suavité, prétendre aux variations d’intensités dont on sait le caractère passager. Individualiser la surface de la toile, l’isoler du spectateur. Résister à l’irruption du réel, assembler puis renoncer, ré-assembler et disparaître entre hauts et bas, s’égarer, confondre les apparences, ressasser, briser la répétition, briser la répétition…… »_. Dans une quête sensible de l’humanité en chacun, une recherche existentielle, l’artiste nous entraîne dans son univers puissant et doux, pudique et grave…