Arnaud Liard vient du graffiti. De cette pratique urbaine, fugace, parfois illégale, il a gardé le goût pour la forme, la couleur et surtout la matière de la cité : le béton. Ainsi, il enduit systématiquement chacune de ses toiles d’une couche de ciment. Une surface grise et accidentée sur laquelle il apporte par la couleur quelques touches de vie.
Autodidacte, Arnaud Liard superpose différentes techniques de peinture. Acrylique, aérographe, bombe aérosol, peinture à l’huile. À son interprétation de la ville, il ajoute ici et là différents éléments abstraits directement inspirés de sa pratique du graffiti pour s’éloigner du réalisme et créer ainsi une sorte d’irréalité augmentée.
Comme les milliers d’êtres humains qui se croisent dans nos mégalopoles modernes, les personnages d’Arnaud Liard sont anonymes. Les visages sont effacés, camouflés au profit des corps. Leur masse plastique, leur mouvement, leur interaction avec l’environnement, c’est tout cela que l’artiste met en exergue.
À mi-chemin entre imaginaire et réalité, Arnaud Liard propose sa propre vision du théâtre urbain. À la fois brute, rugueuse, vivante, colorée, humaine et lumineuse. »
Nicolas Gzeley
Arnaud Liard vient du graffiti. De cette pratique urbaine, fugace, parfois illégale, il a gardé le goût pour la forme, la couleur et surtout la matière de la cité : le béton. Ainsi, il enduit systématiquement chacune de ses toiles d’une couche de ciment. Une surface grise et accidentée sur laquelle il apporte par la couleur quelques touches de vie.
Autodidacte, Arnaud Liard superpose différentes techniques de peinture. Acrylique, aérographe, bombe aérosol, peinture à l’huile. À son interprétation de la ville, il ajoute ici et là différents éléments abstraits directement inspirés de sa pratique du graffiti pour s’éloigner du réalisme et créer ainsi une sorte d’irréalité augmentée.
Comme les milliers d’êtres humains qui se croisent dans nos mégalopoles modernes, les personnages d’Arnaud Liard sont anonymes. Les visages sont effacés, camouflés au profit des corps. Leur masse plastique, leur mouvement, leur interaction avec l’environnement, c’est tout cela que l’artiste met en exergue.
À mi-chemin entre imaginaire et réalité, Arnaud Liard propose sa propre vision du théâtre urbain. À la fois brute, rugueuse, vivante, colorée, humaine et lumineuse. »
Nicolas Gzeley
Arnaud Liard vient du graffiti. De cette pratique urbaine, fugace, parfois illégale, il a gardé le goût pour la forme, la couleur et surtout la matière de la cité : le béton. Ainsi, il enduit systématiquement chacune de ses toiles d’une couche de ciment. Une surface grise et accidentée sur laquelle il apporte par la couleur quelques touches de vie.
Autodidacte, Arnaud Liard superpose différentes techniques de peinture. Acrylique, aérographe, bombe aérosol, peinture à l’huile. À son interprétation de la ville, il ajoute ici et là différents éléments abstraits directement inspirés de sa pratique du graffiti pour s’éloigner du réalisme et créer ainsi une sorte d’irréalité augmentée.
Comme les milliers d’êtres humains qui se croisent dans nos mégalopoles modernes, les personnages d’Arnaud Liard sont anonymes. Les visages sont effacés, camouflés au profit des corps. Leur masse plastique, leur mouvement, leur interaction avec l’environnement, c’est tout cela que l’artiste met en exergue.
À mi-chemin entre imaginaire et réalité, Arnaud Liard propose sa propre vision du théâtre urbain. À la fois brute, rugueuse, vivante, colorée, humaine et lumineuse. »
Nicolas Gzeley